Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde
Les amoncellements sculpturaux de Krištof Kintera se présentent comme des témoignages absurdes et inquiétants des excès de production à l’ère de l’hyperconsommation et de l’obsolescence programmée.
Krištof Kintera, Systemus Postnaturalis, 2016-2017 © Idra Labrie
Krištof Kintera
(République Tchèque)
Krištof Kintera, né en 1973, a effectué sa formation à l’Académie des beaux-arts de Prague (1999) et à l’Académie royale des beaux-arts d’Amsterdam (2004). Ses œuvres ont été présentées au Musée Tinguely (Bâle), au Kunsthal (Rotterdam), à la Galerie Rudolfinum (Prague), à la Collection Maramotti (Reggio d’Émilie), au Musée d’art contemporain de Cracovie, au Palais de Tokyo (Paris), au Musée royal des beaux-arts d’Anvers, à la cité d’artistes Béthanie (Berlin), au Musée d’art contemporain de Tokyo et au Casino Luxembourg. Kintera a été nommé trois fois pour le prix Jindřich Chalupecký. Il vit et travaille à Prague et y est représenté par la Galerie Ron Mandos Amsterdam.
Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde
179, Grande Allée Ouest
418 643-2150
16 février au 21 avril
Mardi / Jeudi à Dimanche — 10 h à 17 h
Mercredi – 10 h à 21 h
Vernissage le 15 février à 17 h